• nous ne voyons pas les ultra-violets, les rayons X, les rayons Gamma ;
• nous n’entendons pas les ultra-sons.
  

La limite varie aussi d’un individu à l’autre. Certains sont très sensibles aux éléments visuels, d’autres aux sons... Il existe donc une différence liée à nos capacités propres.
Cette limite permet d’appréhender la notion de seuil sensoriel (c’est le niveau à partir duquel la stimulation provenant de l’environnement sera ressentie par une catégorie de capteurs).
La sensation est étroitement liée à la perception car le sens donné à la stimulation sensorielle va varier d’un individu à l’autre, d’un contexte à l’autre, d’une culture à l’autre.
Les sensations sont intégrées dans la politique commerciale des organisations et ont des conséquences non seulement sur le plan commercial mais aussi sur le plan organisationnel.

• L’ouie est stimulée par la diffusion de musique ;

• L’odorat est stimulé par la diffusion de parfums (l’odeur de voiture neuve par les concessionnaires vendant des voitures d’occasion) ;

• Le goût par la dégustation de produits alimentaires...

On peut citer des entreprises telles que :

• Renault qui a inventé le « touch-design » qui permet de créer une « ambiance » à partir d’éléments tels que la forme de la voiture, les matières utilisées...
• Nature et Découverte qui stimule les cinq sens : l’odorat en diffusant à l’entrée du point de vente une odeur de cèdre, l’ouie grâce à une musique « zen », la vue par la disposition des produits rappelant une « caverne d’Ali Baba », le goût par la distribution gratuite d’une tisane aux sept plantes, le toucher par la mise à disposition des produits.