Projet SPORTISSIMO+

, par Anthony LASTAPIS

Contexte :

Sportissimo+ a été lancée sur Amiens par Marc Suart en 1973. Son objectif : concurrencer les groupes tels qu’Intersport, Décathlon et redonner un aspect familial à la pratique du sport en offrant des équipements pour tous les sports même les plus méconnus. Aujourd’hui, Sportissimo+ est présente dans toute la Picardie avec 5 magasins et regroupe tous les sports sous un même toit. Sa devise : « le sport accessible à tous ». Cela se traduit par une double accessibilité : accessibilité par le prix et accessibilité à une large gamme de produits sportifs.

En plus de ces produits, Sportissimo+ propose également de nombreux services qui permettent de faciliter la pratique du sport : des ateliers, des personnalisations de produits, des cartes cadeau... Et depuis quelques années, Sportissimo+ améliore sa relation avec ses clients en partageant le sport autour d’événements appelés « Sport Découverte ». Ce sont des événements gratuits qui permettent aux clients de découvrir des sports populaires mais aussi des sports plus méconnus, de partager le sport en famille avec des salariés des magasins.
Grand projet 2015 : collaborer avec les lycées et les collèges de la région pour faire découvrir le handisport aux élèves. Ce projet se traduira par des interventions de salariés formés à la pratique du handisport dans les salles de sport des établissements. Au programme : foot-fauteuil, rugby-fauteuil, basketball, athlétisme, Cécifoot (pour les malvoyants), tennis de table, etc.

C’est en préparant ce nouveau projet que Marc Suart a constaté 3 problèmes majeurs :

  • Il n’a pas le temps de mettre en place son plan de formation sur l’handisport pour l’ensemble de ses vendeurs.
  • En évoquant le besoin de former les salariés à la pratique du handisport, il a été confronté à de nombreuses demandes de collaborateurs qui méconnaissaient leurs droits en matière de formation et qui se plaignaient de l’absence d’interface formation à la disposition des collaborateurs sur l’intranet.
  • En voulant sensibiliser les jeunes au handicap et au sport, il s’est rendu compte que son entreprise n’avait pas un seul salarié handicapé et que l’entreprise paie une contribution à l’Agefiph en contrepartie. Or, certains postes de vendeurs vont nécessiter de procéder à un recrutement prochainement. De plus, Marc Suart se demande si la réserve du magasin est adaptée à l’accueil d’un salarié handicapé en fauteuil roulant, bien qu’elle soit au même niveau que le magasin.



Mission :

Proposez à Marc Suart diverses solutions pour résoudre ses problèmes.